Les tépuis du Vénézuéla
Publié le 10 octobre 2024Cet article est réservé aux adhérents du GMPAO.
Retrouvez le compte-rendu du diaporama présenté par Jean-Michel Hervouet lors de la réunion du mois d’octobre 2024.
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Retrouvez le diaporama “Arnaques, crimes et botanique” présenté par Olivier D. lors de la réunion du mois de février 2024.
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Retrouvez le diaporama présenté par Olivier D. lors de la réunion du mois de décembre 2023.
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Je vais vous parler d’eux, de ces inconnus sur lesquels on ne trouve que quelques mots dans la littérature. Mais qui sont toujours admirés le jour ou on les voit pour de vrai en fleurs.
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Retrouvez le diaporama présenté par David Lafarge lors de la réunion du GMPAO de juillet 2023.
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Retrouvez le diaporama présenté par Jean-Michel Hervouet lors de la réunion du GMPAO de mai 2023.
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Compte-rendu de l’exposé fait par Christophe Aubin sur les méthodes de cultures des orchidées en terrarium et paludarium.
La première partie de ce compte-rendu présente une synthèse des observations faites à l’occasion d’un voyage que nous avons effectué du 1er au 9 avril 2007 sur l’île de Rhodes.
La deuxième partie, consacrée à l’île de Lesbos, est le fruit d’un deuxième voyage effectué par Marinette et Roger Lecomte du 12 au 22 avril 2008.
Je voudrais vous présenter quelques plantes observées lors d’un séjour en Crète au printemps 2003 (au tout début d’avril). Nous avons passé une semaine accompagnés par Pascal Jarige ainsi que 6 autres passionnés d’orchidées.
Retrouvez les différents espaces de cultures d’Eloy-Abel Sanchez, avec les descriptions, conseils, et notes de cultures associées.
Ce compte-rendu présente une synthèse des observations faites à l’occasion de 2 voyages que nous avons effectués en Sicile dans la période du 11 au 19 avril 2002 et du 19 au 29 avril 2005. La complémentarité de ces deux périodes nous a permis d’observer une large variété d’orchidées dont quelques endémiques.
Peu présentes chez les amateurs car les catalogues européens en ont un choix assez restreint, les quelque 32 espèces que comprend ce genre sont pourtant toutes hautement désirables par leur floraison régulière et spectaculaire.
Carl Blume a décrit le genre en 1825. Celui-ci appartient à la sous-famille des Epidendroideae, tribu des Coelogyneae, sous-tribu des Coelogyninae.
C’est un des plus grands genres avec 270 espèces décrites à ce jour.
Nous voudrions vous présenter quelques photos d’orchidées et de fleurs que nous avons pu observer lors de notre voyage dans les Pouilles au sud-est de l’Italie.
Ce voyage a été effectué du 20 au 30 Avril 2005, seuls dans le Gargano, puis avec un groupe d’orchidophiles guidés par Pascal JARIGE dans la partie sud des Pouilles.
Ce voyage entrepris au Québec du 1er au 19 juillet 2009 avait pour objectif la découverte des orchidées indigènes du continent nord-américain, continent qui est riche d’une cinquantaine de genres pour un total d’environ 250 espèces dont la très grande majorité sont des orchidées terrestres.
Les Orchidées, la plus riche des familles de plantes à fleur, présentent de nombreux caractères adaptatifs bien particuliers, résultats d’une longue histoire évolutive. Essayons de voir comment elles se situent dans cette histoire du monde végétal et comment elles se sont diversifiées.
J’ai découvert les orchidées à l’occasion de la première exposition organisée par le Groupement Midi-Pyrénées des Amateurs d’Orchidées fin 1984 à Toulouse, à l’Espace Saint-Jerôme, près des Galeries Lafayette.
C’est à partir de cette époque que j’ai découvert que les orchidées existaient presque partout dans le monde et particulièrement en France.
Le genre Angraecum a été établi en 1804 par un explorateur et botaniste français, le colonel J-Baptiste Bory de St Vincent . Le nom vient d’un mot malais, « angurek », que les autochtones utilisent pour désigner les orchidées épiphytes dont la végétation ressemble à celle d’un Vanda.
On désigne les orchidées, comme les autres plantes, par un binôme latin, nom de genre suivi du nom d’espèce. Les règles qui régissent ces dénominations sont très strictes et commandées par le Code International de Nomenclature Botanique. La principale est celle de priorité : le nom d’espèce donné par le premier descripteur est normalement le seul valable.